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  • : Elections régionales Midi-Pyrénées PS-PRG-MRC-EE-Front de Gauche. Equipe Martin MALVY - Bernard PLANO
  • : Suivi de la campagne des élections régionales 2010, de la liste MALVY-PLANO, PS-PRG-MRC-EE-Front de Gauche, conduite par Bernard Plano sur les Hautes-Pyrénées. Installation du Conseil régional Midi-Pyrénées 2010-2014.
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Liste PLANO - Conseil régional

Les 6 conseillers régionaux de Gauche sur les Hautes-Pyrénées sont :

PLANO Bernard Bernard PLANO (PS), Maire de Lannemezan et Président de la CCPL

BAUDOIN Marie Marie BAUDOIN (PS), Conseillère régionale sortante, Adjointe au Maire de Maubourguet

LATRUBESSE Guilhem Guilhem LATRUBESSE (EE).

VIEU Marie-Pierre Marie-Pierre VIEU (PS), Conseillère régionale sortante, Conseillère municipale de Tarbes

GAITS Claude Claude GAITS (PRG), Conseiller régional sortant, Conseiller municipal de Tarbes

ARTIGALAS Viviane Viviane ARTIGALAS (SE), Adjointe au maire de Marsous, Vice-Présidente de la Communauté des communes du Val d'Azun

Des noms, des visages...

Equipe MALVY-PLANO  "Pour vous, une Région rassemblée" 21 mars

bp-copie-11 -  Bernard PLANO (PS), maire de Lannemezan,
président de la CCPL, chef d'entreprise.


marie b-copie-12 - Marie BAUDOUIN (PS), conseillère régionale sortante,  adjointe au maire de Maubourguet, conseillère en insertion.
 
  
3 - Guilhem LATRUBESSE, (EE) secrétaire fédéral du Parti occitan, commercial en informatique
 
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4 - Marie-Pierre VIEU, (Front de Gauche) Conseillère régionale, Directrice d'édition 
claude g
5 - Claude GAITS (PRG), conseiller régional sortant, conseiller municipal de Tarbes, gérant de société.


vivianne46 - Viviane ARTIGALAS (SE), adjointe au maire d'Arrens-Marsous, vice présidente de la communauté des communes du Val d'Azun, chef d'établissement scolaire à Lourdes.
francis-copie-1
7 - Francis ESQUERRE (PS), conseiller régional sortant, président et animateur de la Maison Commune Bagnères-Tarbes,
 cadre territorial.
maryse
8 - Maryse CARRERE (PRG), maire de Lau-Balagnas, présidente du syndicat mixte du Haut Lavedan, cadre territorial.
jm carrot
9 - Jean-Michel CARROT (PS), maire d'Azet, président de la Maison Pyrénéenne du pastoralisme,  agriculteur.


  
10 - Nathalie NOWAK, (EE) infimière

 11 - Laurent ROUGE, (Front de Gauche) militant associatif et syndical, professeur
 


23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 10:55

Dimanche soir à la salle des fêtes de Lannemezan.
Le public attendait les résultats, certains discutaient des scores à venir,
  2photo23
d'autres vérifiaient afin qu'aucune erreur ne se glisse là...
photo24 
Tous étaient forts impatients de connaître le résultat définitif. 

Article "La dépêche du Midi"
du 23/03/2010 à03:59 par Christian SARRABAYROUSE 


Dimanche soir, lors de la proclamation des résultats à la salle des fêtes. Photo José Navarro.

Élections régionales. 76,53 % sur Lannemezan, 76,14 % sur le canton.

Roger Pham, le premier adjoint, annonce les résultats des élections régionales sur Lannemezan et le canton. Il parle de réussite, de triomphe pour la liste de Martin Malvy, conduite dans les Hautes-Pyrénées par Bernard Plano, qui l'emporte à 76,53 % sur Lannemezan et à 76,14 % sur le canton (il arrive en tête partout et fait 100 % à Fréchendets).
photo3
 À ses côtés, le maire de Lannemezan, tête de liste, écoute. Sans joie débordante, déplacée.  

Son téléphone sonne. Une fois, deux fois, trois fois, il s'écarte pour répondre à ses interlocuteurs. 

Le temps du discours est venu. Standing ovation. 

À peine, Bernard Plano commence t-il à prendre la parole qu'on l'appelle encore. Il s'interrompt. Puis revient et s'arrête à nouveau en raison d'un nouvel appel. Comme pour s'excuser, il confie même le nom de ceux qui cherchent à lui parler.

Enfin, il peut dire à ses plus fidèles soutiens et supporters, ce qu'il a sur le cœur.  

« Il n'y a pas de hasard. C'est le résultat du travail sur le terrain, au quotidien » commente l'élu qui a aussi cette phrase qui résume tout : « on transpire le sérieux et cela se sent ». 

Se laissant aller aux confidences, il avoue ensuite : « même si cela ne se voit pas, je suis ému. Mais avec le temps, je me suis un peu endurci. En tout cas, je vous remercie beaucoup de votre confiance. Je serai votre digne représentant ».

À peine est-il descendu de l'estrade que c'est le temps des embrassades et des félicitations. Mais, il sait qu'on l'attend ailleurs. Pour d'autres lendemains.  Bernard Plano avait un destin local. Il a désormais un mandat régional. D'autres lui prédisent un avenir national. De député. L'idée fait son chemin. Et pas seulement à Lannemezan. Lui sourit et quand on lui pose la question, il répond : « J'avance lentement. J'ai fait un parcours d'apprentissage. Je vais en faire un autre. Et le moment venu, on verra si le territoire a besoin de moi ». 

Diaporama "tarbes-infos.com"


La fin de la soirée s'est terminée joyeusement. Merci au supporter-chanteur Marcel....
photo20




LOURDES, un vote historique !



Article "ladepeche.fr" publié le 23/03/2010 à 3:59 par F. DEPEYRE et D. PEREIRA

Elections régionales. 756 voix d'écart.

Un résultat attendu par les élus de gauche.

Avec une différence de 756 voix en la faveur de Martin Malvy (PS), la majorité municipale conduite par le maire Jean-Pierre Artiganave accusait le coup, dimanche soir. Personne n'a traîné dans les couloirs, l'heure était grave et imposait une réunion « de crise ». À l'inverse, le camp de l'opposition, composé de membres du PS uni, affichait sa victoire.

Alain Garrot, secrétaire de section PS du Pays de Lourdes : « C'est la première fois que le PS uni arrive en tête à Lourdes. Ce résultat est dû à la bonne gestion des gens de la gauche qui ont œuvré sur l'ensemble de la région. Ils ont su convaincre les Lourdais, notamment sur la politique hôtelière pour pousser la progression de l'économie lourdaise. Avec un écart de 700 voix sur la cité par rapport à 2004, on sent bien que la gauche s'unit ».

Thierry Lavit, animateur du Cercle radical du Pays de Lourdes, est davantage dans l'analyse : « Lors des élections régionales de 2004, seulement 180 voix séparaient Martin Malvy du candidat Godfrein ; cette fois-ci, il prend la tête avec 756 voix d'avance sur Brigitte Barèges. Sur le plan régional, Martin Malvy confirme sa gestion, les électeurs sont dont réceptifs et à son écoute. Sans connaître les résultats régionaux, on peut déjà dire que l'union accorde une écrasante victoire à cet homme. Je pense que cela préfigure du vote national pour les futures présidentielles. Avec les fruits mûrs que l'on récolte, on espère une synergie pour 2012 et battre Nicolas Sarkozy. Au niveau local, il y a six ans, je m'étais réjoui du faible écart et j'avais pensé que le résultat serait de bon augure pour les municipales de 2008. Est-ce que, sur Lourdes, la scène politique a bougé ?L'avenir le dira, mais on formule un grand espoir pour 2014. En tout cas, ce sera dans l'union ».

Pour Jean-Pierre Artiganave, « ce n'est pas une victoire, c'est une survictoire annoncée bien avant le premier tour de l'élection régionale « nationalisée ». La gauche avait un excellent candidat, le peuple de droite a choisi une abstention très protestaraire, le Front national est de retour. La combinaison de ces trois éléments surprime et sublime le résultat. Demain sera un autre jour ».
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 07:00

Hier soir salle Jean-Mermoz, de gauche à droite : Jean-Michel Baylet, Pierre Cohen, Pierre Izard et Martin Malvy. Photo DDM, Michel LabonneGérard Onesta, Martin Malvy et Christian Picquet annoncent leur alliance pour le second tour des élections régionales 2010. Photo Marc Pédeau

L’alliance du PS-PRG-MRC-EE-Front de gauche obtient 70 % des voix, contre 30 %  à la liste UMP BAREGES-TREMEGE.
 Le socialiste part largement favori. Photo DDM.
 photo6   Cette confortable élection est une remarquable marque de reconnaissance, par les Hauts-Pyrénéens, pour l'équipe régionale de Martin MALVY, conduite localement par Bernard PLANO.
Régionales : la gauche atteint des sommets et la droite dévisse C'est la reconnaissance de la nécessité d'engager des actions pour l'emploi, l'économie, l'éducation, les transports en commun, le développement durable et bien plus encore... mais en maintenant toujours le lien social, en gardant à l'esprit les valeurs de gauche, en voulant d'une gauche solidaire.


bernard9    Comme le dit Bernard PLANO, c'est un très bon résultat
 sur notre département, à la hauteur de la campagne de proximité menée par son équipe  sur le terrain, 
à la hauteur du bilan de l'équipe sortante avec Martin MALVY, 
à la hauteur de la volonté commune de la gauche rassemblée, 
à la hauteur du soutien des élus du département, parlementaires, conseiller régionaux et généraux, maires,
      
à la hauteur du soutien de tous les militants et sympathisants qui les ont accompagné durant toutes ces semaines,
et surtout 
grâce aux électrices et électeurs qui leur témoignent ainsi de leur confiance pour mener à bien le projet de gauche présenté par Martin MALVY et son équipe.

A la demande du tête de liste départemental, Bernard PLANO, l'ensemble des présents, dimanche soir, a très chaleureusement applaudi en remerciement à tous ces soutiens.
photo1

La reconnaissance du travail réalisé précédemment...
Une campagne de fond, de proximité, exceptionnelle sur le terrain, soutenue par de nombreuses personnes, des élus...
Une union pertinente, porteuse de diversité, d'enrichissement, de fertilisation, de richesses...

Article avec vidéo sur Vidéo Tarbes-infos.com

Tarbes-infos : Interview de Bernard PLANO, en cliquant ici

Tarbes-infos :Interview de Josette DURRIEU, en cliquant ici

photo10

Avec 70% de voix sur les Hautes-Pyrénées, la liste PS-PRG-MRC-Europe Ecologie-Front de gauche fait un carton, ce qui conforte la position de Josette Durrieu, présidente du conseil général.

Sur LANNEMEZAN :


Elections Régionales : La liste  
Un excellent résultat
  sur Lannemezan.
C'est la reconnaissance du bilan de l'équipe sortante avec Martin MALVY.

L'équipe de Bernard PLANO réalise plus de 76,53% contre 23,47% pour la liste BAREGES-TREMEGE. 

photo5

Là encore,  les chiffres récompensent l'excellente campagne de terrain et de proximité menée, localement, par Bernard PLANO, ses colistiers.  
Ces résultats montrent l'importance de la volonté commune et sincère des forces de gauche rassemblées.


Bernard Plano lors de la réunion publique. Photo J.-C.D.

Il sont aussi le résultat du soutien infaillible des élus du département, de tous les militants et sympathisants qui ont toujours répondu présents durant toutes ces semaine.

C'est enfin une belle victoire acquise grâce aux électrices et électeurs qui témoignent à l'équipe conduite par Bernard PLANO,  leur confiance pour mener à bien le projet de gauche présenté par Martin MALVY.

Nous pouvons être sûrs que Bernard PLANO, homme de projets, comme il l'a démontré sur sa commune et sur le Plateau, saura porter et défendre ce projet de gauche, avec une vision régionale.

« C'est une victoire historique», se félicite Alain Piaser, secrétaire départemental de la fédération du Parti socialiste.

 photo5 Avec "PIC fm"  Ecoutez ici la réaction d'Alain PIASER, secrétaire fédéral du parti socialiste des HP.


Sur TARBES :

Une participation en très légère hausse : 47,45 % (43,9 % au 1er tour), pour 13.613 votants,  sur Tarbes, à nouveau en dessous de la moyenne régionale.

L'équipe MALVY-PLANO réalise  entre 60 de 71 % dans les 5 cantons de TARBES.
L'électorat de Gérard TREMEGE n'a pas réusi à limiter la dérive de l'UMP qui s'est "désagrégée" !!!

Autour de Martin Malvy la gauche s'est bien rassemblée, un très bon report et une dynamique de mobilisation des électeurs en faveur de l'équipe de Martin MALVY : 63,17 % des voix sur Tarbes, alors que les forces de
gauche ne totalisaient que 57,7 % au premier tour. Les chiffres parlent d'eux-mêmes...

Grand Tarbes 
Article "ladepeche.fr"

 Dépouillement sans encombre et sans surprise à Aureilhan. La participation a très légèrement augmenté. Photo H. D.
À journée grise et morose, humeur grise et morose, dit-on. C'était un peu le cas pour ce vote du second tour des régionales, sur le Grand Tarbes. On ne peut pas dire que l'enthousiasme était de sortie, à l'image des électeurs. Certes, dans certains bureaux, comme à Aureilhan ou à Bordères, on a enregistré une très légère hausse du nombre de votants. Une hausse presque anecdotique. L'abstention était encore une fois la première présente au scrutin. « Les gens sont venus voter un peu plus nombreux le matin », remarquait Yannick Boubée, le maire d'Aureilhan. « Mais l'après-midi, il n'y a pas eu foule. C'était comme au premier tour. »


Au dépouillement, pas d'enthousiasme, pas d'excitation particulière, comme on le sent souvent pour d'autres élections : le résultat du scrutin n'était une énigme pour personne.

Y compris pour le président du Grand Tarbes, Gérard Trémège : « Nous avons perdu en 2004 et nous n'avons pas regagné aujourd'hui. Contrairement à ce que l'on avait espéré, le report des voix à gauche s'est parfaitement opéré. Pour Tarbes, en ce qui nous concerne, c'est un peu moins mauvais. Mais la mobilisation de notre électorat pour cette élection n'a rien à voir avec celle des municipales ».

Les cantons du Grand Tarbes ont tous, sans aucune exception, donné Martin Malvy très largement en tête avec en moyenne une balance de 73 % pour 27 % à sa rivale Brigitte Barèges.

Pour le canton de Séméac : 73,1 % pour Malvy, 26,9 pour Barèges ; canton d'Aureilhan : 73,28 contre 26,72 ; canton de Laloubère : 68,98 contre 31,02 (le score le plus bas pour Malvy) et enfin
Bordères-sur-l'Échez où le candidat socialiste enregistre son meilleur score : 76,06 contre 23, 94.


Sur le canton BAGNERES :
Le score de 71,41% pour la liste de Martin MALVY est éloquent. C'est l'un des meilleurs du département ! Que ce score n'occulte pas l'excellent résultat de Martin MALVY sur la commune de Bagnères de Bigorre qui est de 71,91.
Une fois de plus, le travail de terrain avec tous le smilitants et élus a apporté ses fruits...

Sur le canton de LOURDES :
Encore un beau résultat, qui a fait dire à Martin MALVY : "Même Lourdes, traditionnellement plus proche de la Vierge Marie que de Jean Jaurès, a donné 57% à la gauche".

Comme écrit dans  "www.la depeche.fr" "Dans les Hautes-Pyrénées, la gauche signe une victoire digne des sommets de son territoire. En revanche, la droite dévisse lourdement."..."D'une manière générale, le résultat du second tour des régionales confirme voire amplifie celui du premier tour. "...« Certes, on a fait le plein à gauche et je crois qu'on a su créer une dynamique de second tour. On a aussi profité d'une participation supérieure », estime Bernard Plano, tête de liste départementale....(TH. J) 

   photo7  photo10  photo4


Un siège de plus pour la gauche en Hautes-Pyrénées : Belle réussite !
bp-copie-1Bernard PLANO a encore gagné un challenge !!!
Il l'avait dit en début de campagne, c'est gagné !!!


Une belle récompense pour l'excellent travail d'équipe sur le terrain, le soutien des élus, des fidèles militants, sympathisants... 

8
 sièges pour les Hautes-Pyrénées : 
Dont 6 pour la liste Malvy avec Bernard Plano (PS), Marie Baudoin (PS), Guilhem Latrubesse (Europe Ecologie), Marie-Pierre Vieu (PCF), Claude Gaits (PRG), Viviane Artigalas (SE) et 2 pour la liste Barèges avec Gérard Trémège (UMP), Catherine Corrège (NC).

 

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 06:55

Martin MALVY sur l'Eurorégion Pyrénées Méditerranée  Martin Malvy, s'est réjoui du score obtenu de 67,78% ! C'est le record  au second tour des élections régionales. Il distance carrément de 35 points son adversaire  Brigitte Barèges (32,23%) !!! Quelle victoire !!! 

Il conduisait la liste  PS-PRG-MRC-EE-Front de gauche et il a déclaré : "le rassemblement, c'est l'acte politique que nous devions commettre, la gauche a toujours gagné unie, elle ne gagnera jamais désunie". "C'est la leçon qu'il faut entendre pour faire en sorte que le peuple de France retrouve le pouvoir", a-t-il ajouté devant une centaine de militants.

Ce résultat est aussi "une réponse à la droite, à la politique de plus en plus insupportable qu'elle mène dans ce pays", a-t-il ajouté.


 
  Sans faire de triomphalisme, on savait que Midi-Pyrénées est une région des mieux gérée de France, que son Président est l'un des trois Présidents de Région, les mieux connu des Français, aujourdh'hui il peut ajouter àson palmarès celui de Président le mieux élu de France à la tête d'une liste de gauche rassemblée.

Nous ne pouvons qu'en être fiers !      

Afficher l'image en taille réelle
Martin MALVY a fait applaudir à tout rompre les superbes résultats de vieilles villes ouvrières comme Decazeville (Aveyron) 80,6%, Carmaux (Tarn) 79,8%, Lannemezan (76,6)%, Lavelanet (72,6%) , sa ville de Figeac (Lot) 74,4%....      
DSC03615  L'équipe PLANO-MALVY a fait un superbe score, chez nous, sur les Hautes-Pyrénées, avec  Lannemezan (Hautes-Pyrénées) 76,6%. Martin MALVY a précisé : "Même Lourdes, traditionnellement plus proche de la Vierge Marie que de Jean Jaurès, a donné 57% à la gauche".

Seul petit bémol, Martin MALVY a sincèrement déploré que ces élections recueillent un fort niveau d'abstention. Il souhaite que "les grands media ne se contentent plus d'apporter leur intérêt pendant deux mois tous les six ans, mais mettent en valeur les débats sur les politiques régionales, car plus rien ne fonctionne sans la décentralisation".

La liste Martin MALVY disposera de 69 sièges (62 en 2004) sur 91 au Conseil régional, les 22 autres revenant à la liste BAREGES.  Pour ce troisième mandat de Martin MALVY conforte encore plus sa majorité au sein de l'assemblée de Midi-Pyrénées...

UNE RECONNAISSANCE UNANIME DE SON SUCCES, DE SE PR2SENCE SUR LE TERRAIN, DE SON EFFICACITE, DE SON TALENT !!!


Article "la-croix.com" 22/03/2010 17:02, Jean-Luc FERRÉ, à Toulouse

En Midi-Pyrénées, Martin Malvy champion de France des résultats électoraux



Le président socialiste sortant rempile pour un troisième mandat avec un score historique (67,77 %) décroché grâce à sa présence sur le terrain et ses talents diplomatiques

C’était écrit. Depuis des mois, tous les sondages, inlassablement, annonçaient la 
victoire de Martin Malvy en Midi-Pyrénées « dans un fauteuil ». Mais c’est finalement dans un canapé taille XXL que le président sortant socialiste peut s’installer pour un troisième mandat. Avec 67,77 % des suffrages exprimés, contre 32,23 % à sa rivale UMP Brigitte Barèges, le voilà champion de France de l’élection de dimanche 21 mars, et plus qu’à l’aise dans la future assemblée avec 69 élus contre 22.

Ce n’est pas dans sa nature très policée, mais 
l’ancien ministre du budget (1992-1993) de Pierre Bérégovoy peut jubiler. Après douze ans à la tête de la région, il améliore largement son score de 2004 (57,51 %). « La reconnaissance du travail accompli », commentait-il sobrement après le scrutin. Certes. Même ses adversaires reconnaissent son « savoir-faire » et parviennent difficilement à lézarder son image de gestionnaire avisé. 

Mais dans une élection qui fit la part belle aux débats nationaux et dans laquelle, en Midi-Pyrénées comme ailleurs, l’abstention (45,63 % au deuxième tour) révèle en partie le faible intérêt des citoyens pour la pratique régionale, le bilan n’explique pas tout.

Son équipe, et aujourd’hui encore plus qu’hier, aime mettre en avant la « marque » Malvy. Nul doute, effectivement, que l’ancien journaliste de 
La Dépêche du Midi sait parfaitement incarner l’institution qu’il dirige. Avant l’élection, il montait déjà sur le podium des présidents régionaux bénéficiant de la plus forte notoriété. 

« C’est un laboureur », un « increvable »

Il est vrai que le bonhomme ne ménage pas sa peine pour quadriller en long et en large son territoire. « C’est un laboureur », assure un de ses proches. Un « increvable » qui, à 74 ans, use encore ses collaborateurs, et jure arpenter 100 000 kilomètres annuels en Midi-Pyrénées, et pas seulement dans les mois précédant un scrutin. La faute peut-être à sa nature inquiète, moteur de son énergie et de son besoin de contrôle tous azimuts.

Autre point fort du personnage : sa légendaire diplomatie. À l’œuvre durant son premier mandat (1998-2004), quand il ne bénéficiait que d’une majorité relative, et toujours mise en avant depuis. « Je travaille avec tout le monde », martèle-t-il. Avant ces régionales, un tantinet vexé par la volonté des communistes de ne pas intégrer ses listes dès le premier tour comme en 2004, il jurait « vouloir se poser en rassembleur jusqu’au bout ». Dont acte.

Le premier tour (40,93 % des suffrages) lui offrait un boulevard vers sa réélection. Les voix écologistes (13,46 %) et du Front de gauche (6,91 %) ne lui étaient pas indispensables. Mais le « sphinx » n’allait pas s’amuser à casser la dynamique nationale de la gauche solidaire, ni se priver de cette possibilité d’être le mieux élu de l’Hexagone, devançant de plus de sept points Ségolène Royal en Poitou-Charentes.

Il ne s’est pas fait que des amis au Parti socialiste

Mieux : en comptant à ses côtés le leader local d’Europe Écologie Gérard Onesta, ancien vice- président du Parlement européen, le président de la région Midi-Pyrénées compte bien participer au mouvement national qui se dessine à gauche. 

En Ariège et en Aveyron notamment, il ne s’est pas fait que des amis au Parti socialiste en imposant la fusion entre les deux tours. Mais la formule s’est révélée payante. Même si, à l’usage, sa diplomatie ne sera pas de trop pour assurer la gouvernance pendant quatre ans de l’hôtel de région.

Enfin, force est de constater que le triomphe de Martin Malvy s’est aussi construit sur la faiblesse de son adversaire Brigitte Barèges. Très contestée dans son propre camp, la maire de Montauban décroche le pire score de l’histoire de la droite en Midi-Pyrénées. Sur ses terres de Tarn-et-Garonne, elle n’obtient que 35,25 %. 

Comme après les élections municipales de 2008, marquées pour la droite locale par la perte de Toulouse, Cahors et Rodez, ces résultats ne vont pas manquer d’ouvrir une période de sévères règlements de comptes internes. Un petit plaisir supplémentaire pour Martin Malvy.




Extraits de l'Article "lepoint.fr" du 22/03/2010 à 13:46

Âgé de 74 ans, Martin Malvy devrait être réélu vendredi pour un troisième mandat à la tête de la région, fief traditionnel de la gauche, qui contrôle sept des huit départements, à l'exception de l'Aveyron. Ce résultat est "une réponse à la droite, à la politique de plus en plus insupportable qu'elle mène dans ce pays", a-t-il estimé dimanche soir. Selon lui, le rassemblement des forces de gauche, pour lequel il a inlassablement plaidé, a été déterminant dans l'ampleur de cette victoire. "La gauche a toujours gagné unie, elle ne gagnera jamais désunie. C'est la leçon qu'il faut entendre pour faire en sorte que le peuple de France retrouve le pouvoir", a-t-il ajouté. 

L'un de ses rivaux du 1er tour, Gérard Onesta (Europe Écologie), rallié au second tour, lui a rendu un hommage appuyé, soulignant ses qualités d'écoute et de négociateur. "Il avait les cartes en main pour l'emporter seul mais il a choisi ce rassemblement. Les négociations se sont faites dans le respect le plus absolu, il n'a pas dicté sa loi", a-t-il commenté lors de la fusion des listes PS-Europe Écologie. 

Un élu de terrain 

Haute stature, teint hâlé, voix forte, chaleureuse et convaincante, lunettes à monture noire, affichant une forme physique constante, Martin Malvy est avant tout un élu de terrain, qui parcourt inlassablement sa région à l'écoute de ses administrés. Homme de conviction et de consensus, il cherche en permanence à rassembler autour de projets jugés prioritaires pour la région : le développement de l'industrie aéronautique, l'amélioration du réseau de transports ferroviaires régional, le lancement du TGV Midi-Pyrénées et l'intensification de la coopération entre les régions voisines françaises et espagnoles, dans le cadre de l'Eurorégion Pyrénées-Méditerranée. Au besoin, il n'hésite pas à descendre dans la rue, comme il l'a fait récemment, à la tête de centaines d'élus manifestant à Toulouse contre la réforme des collectivités et de la fiscalité locale. 

Né en 1936 à Paris, licencié en droit, ancien journaliste à Sud Ouest et à La Dépêche du Midi, marié et père de trois enfants, Martin Malvy s'est lancé en politique au début des années 1970, devenant successivement conseiller général du Lot, puis maire de Figeac et député du Lot. Élu pour la première fois président du conseil régional de Midi-Pyrénées en 1998, il a été réélu en 2004, à la tête d'une liste PS-PRG-PCF opposée à des listes UMP-UDF et Front national. Fabiusien de longue date, Martin Malvy a exercé plusieurs fonctions gouvernementales : secrétaire d'État chargé de l'Énergie de 1984 à 1986 dans le gouvernement Fabius, il a été en charge du secrétariat d'État aux Relations avec le Parlement et porte-parole du gouvernement d'avril à octobre 1992. Il fut également ministre du Budget d'octobre 1992 à mars 1993 dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy.  

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 06:50
1 - Dans les Hautes-Pyrénées :
  Nombre % Inscrits % Votants
Inscrits 177 149    
Abstentions 82 060 46,32  
Votants 95 089 53,68  
Blancs ou nuls 6 318 3,57  6,64
Exprimés 88 771 50,11  93,36

Liste conduite par Voix % Exprimés
M. Martin MALVY (LUG) 62 198 70,07
Mme Brigitte BAREGES (LMAJ) 26 573 29,93


2 - En Midi-Pyrénées : http://elections.interieur.gouv.fr/073/073.html

3 - En FRANCE : 
http://elections.interieur.gouv.fr/index.html
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 06:45
Article "leparisien.fr"
 
La liste de gauche conduite par Martin Malvy,   sortant du conseil régional de Midi-Pyrénées, a écrasé dimanche au second tour la liste de droite menée par Brigitte Barèges avec près de 68% des suffrages, le record de ces .
La liste Malvy (PS, Europe Ecologie, FG, PRG, MRC) totalise 67,77% des suffrages exprimés, contre 32,23% à la liste de la députée-maire de Montauban (UMP-NC), dans un scrutin marqué par une abstention de 45,61%, après 48,26% au premier tour. 
En 2004, la liste PS-PRG-PCF de Martin Malvy avait obtenu 57,5% des suffrages dans une triangulaire face à la liste UMP-UDF (30,4%) et au Front National (12,6%), avec une abstention de 30,99%.
Agé de 74 ans, Martin Malvy est assuré d'être réélu vendredi prochain pour un troisième mandat à la tête de la Région, fief traditionnel de la gauche, qui contrôle sept des huit départements, à l'exception de l'Aveyron.
Ce résultat est "une réponse à la droite, à la politique de plus en plus insupportable qu'elle mène dans ce pays", a estimé Martin Malvy, soulignant devant une centaine de militants que le rassemblement des forces de gauche avait été déterminant pour l'ampleur de cette victoire.
"Le rassemblement c'est l'acte politique que nous devions commettre, la gauche a toujours gagné unie, elle ne gagnera jamais désunie". "C'est la leçon qu'il faut entendre pour faire en sorte que le peuple de France retrouve le pouvoir", a-t-il ajouté.
Gérard Onesta, chef de file d'Europe Ecologie au premier tour, a souligné sa confiance dans l'avenir de l'alliance en déclarant à France 3 Sud: "je n'imagine pas que notre accord soit rompu. On fera vivre nos différences: du moment que c'est dans le respect, il n'y aura pas de problèmes", a-t-il dit.
Défaite, Brigitte Barèges a déclaré: "nous ne sommes pas ridicules dans une région traditionnellement à gauche où le président sortant fait campagne depuis 12 ans".
La députée-maire de Montauban a annoncé qu'elle allait démissionner de son mandat de députée pour conduire l'opposition régionale. "C'est un nouveau départ, nous avons quatre ans pour reconstruire", a-t-elle déclaré.
Au premier tour, la liste Malvy avait obtenu 40,93% des suffrages exprimés, devançant la liste Barèges (21,75%) et celle d'Europe Ecologie, menée par Gérard Onesta (13,46%). Celle-ci s'est unie au PS avec la liste du Front de gauche (6,91%) pour le second tour.
La prochaine assemblée régionale avec 91 élus comportera 69 élus de gauche, dont 15 élus d'Europe Ecologie et 7 du Front de gauche, contre 22 à la liste de droite.
Journaliste de formation, ancien maire de Figeac (Lot), ancien secrétaire d'Etat à l'Energie (1984-86) de François Mitterrand, aux relations avec le Parlement (1991-92), puis ministre du Budget (1992-93), Martin Malvy avait ravi en 1998, le perchoir de l'assemblée régionale à l'UDF Marc Censi.
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 06:40

Extraits de "ladepeche.fr" 

La gauche unie, la droite amère

Le score historique réalisé par Martin Malvy en Midi-Pyrénées aurait pu se traduire, hier sur le plateau de France 3 Midi-Pyrénées, par un triomphe exubérant à gauche et un comportement effacé à droite. Les téléspectateurs ont, au contraire, pu constater une gauche modeste et unie dans la victoire face à une droite particulièrement amère voire autiste. Face à Martin Malvy (PS), Gérard Onesta (Verts) et Jean-Michel Baylet (PRG), Brigitte Barèges (UMP) et Thierry Deville (UMP, ex-PRG) avaient comme une envie de refaire le match.

La tête de liste régionale - qui va abandonner son siège de député pour siéger à la Région - et son colistier qui menait bataille en Tarn-et-Garonne, ont ainsi tenté d'instruire un bien étrange procès : celui de l'incapacité des forces de gauche à gouverner ensemble la région au prétexte que leurs points de vue seraient par trop différents. « Nous avons additionné les compétences autour d'un projet qui a débouché sur cette victoire historique », a rappelé Gérard Onesta. Et l'ancien vice-président du Parlement européen de souligner combien il était habitué au fonctionnement d'assemblées « fort complexes. » Même état d'esprit chez Jean-Michel Baylet. « On essaie de nous expliquer qu'on aurait du mal à gouverner la région ? Mais l'accord conclu est solide dans le respect de chacun. » « Il y a une victoire qu'on ne conteste pas, mais la gouvernance va être terrible avec Gérard Onesta d'un côté et le Front de gauche de l'autre », martelait Thierry Deville, qui n'en démordait pas. Comme s'ils étaient encore en campagne, Brigitte Barèges et son colistier s'en sont pris une nouvelle fois à La Dépêche du Midi… Un argumentaire qui tombe à plat.

« Mme Barèges et M. Deville reprennent le débat que les électeurs viennent de sanctionner ce soir. Il n'y a aucun problème et notre majorité fonctionnera en bonne intelligence dès ce lundi. On s'y est engagé », a assuré Martin Malvy, particulièrement serein. « On a aujourd'hui une responsabilité qui est de ne pas décevoir les citoyens qui nous ont fait confiance. Je fonde beaucoup d'espoir sur cette gauche solidaire où chaque partenaire se respecte », résumait Gérard Onesta.           Philippe Rioux

Le président sortant réélu avec 67 % des suffrages

Midi-Pyrénées. La région à gauche toute



























Un triomphe. Sans surprise, mais un triomphe quand même. Déjà crédité du meilleur score de toutes les têtes de listes socialistes lors du premier tour, Martin Malvy a récidivé au second pour remporter l'élection régionale en Midi-Pyrénées dans un fauteuil. Avec 67,8 % des voix, il bat tous les records.

En matière de performances électorales, c'est un fait, Martin Malvy n'a cessé de se bonifier avec l'âge. Certes, le candidat socialiste a profité, comme ses collègues dans les autres régions, d'un vote sanctionnant la politique gouvernementale et l'UMP. Mais ce petit plus qui lui permet de faire la différence, il le doit avant tout à lui-même. À une gestion de la région et à un bilan, d'abord, reconnus jusque sur les rangs de l'opposition de droite dans l'hémicycle régional, à son implication dans la campagne, ensuite, qui une fois de plus a forcé l'admiration de tous ceux qui l'ont suivi dans un exercice qu'il maîtrise plus que jamais.

Même si les sondages lui prédisaient une victoire plus que confortable, le président sortant n'a, une fois de plus, rien laissé au hasard, ne négligeant aucun détail, parcourant infatigablement la région et affichant même une réelle fébrilité dans les dernières heures.

Martin Malvy va donc passer quatre ans de plus à la Région, à la tête d'une majorité largement renouvelée et intégrant à nouveau les Verts. L'avenir dira si cette collaboration sera sereine, mais nul ne pourra contester l'autorité du président.

Certainement pas sur les bancs d'une droite qui limite péniblement les dégâts, malgré une participation en hausse. Une mobilisation qui ne lui a guère profité. Brigitte Barèges a manifestement raflé une bonne part des voix du front national mais ses efforts ultimes pour rallier les abstentionnistes sont largement restés vains. Elle limite les dégâts ça et là, comme dans l'Aveyron (où la gauche confirme cependant qu'elle est largement majoritaire à un an des cantonales), dans la ville de Tarbes (l'effet Trémège) ou dans son département du Tarn-et-Garonne. Il n'en reste pas moins que pour la maire de Montauban, ce résultat est un camouflet puisqu'il est le plus mauvais de toutes les régions où l'UMP était confrontée à un duel. Le constat sorti des urnes dimanche dernier est plus que confirmé. La droite régionale est à reconstruire et plus que jamais en mal d'un leader.         Philippe Bernard 


Quelle gifle !     Article "ladepeche.fr"  

Régionale 2010 : les résultats nationaux

Plus qu'une confirmatio
n, c'est une raclée mémorable. La droite coule, la gauche triomphe. En témoignent le score magistral de Martin Malvy en Midi-Pyrénées ou encore celui, à peine moins impressionnant, de Ségolène Royal en Poitou-Charentes. Face aux chiffres, les explications embrouillées de la droite n'y changent rien : le désaveu d'une politique ne saurait être plus clair. Il faut l'impayable culot d'un Xavier Bertrand pour affirmer « nous progressons ». Quand la défaite est là, aussi évidente, aussi spectaculaire, quand tous les ministres-candidats enregistrent d'aussi sévères déculottées, impossible de faire comme s'il s'agissait de deux petits dimanches ordinaires, comme s'il s'agissait de scrutins mineurs, bref impossible de se voiler la face et s'en retourner tranquillement à ses petites réformes. La majorité est clairement minoritaire.

C'est donc à Nicolas Sarkozy que se sont adressés massivement aussi bien ceux qui ont voté à gauche que les abstentionnistes. Pour lui dire que sa politique leur semble profondément injuste, autoritaire, exaspérante. L'avertissement tombe d'ailleurs à point nommé. Dès demain, passé le soufflé - ou plus exactement le soufflet - électoral, il faudra rouvrir les dossiers économiques et sociaux qu'on avait délaissés le temps d'une campagne. Pêle-mêle : chercher une solution au cruel dilemme des chômeurs en fin de droits, affronter mardi une journée de grèves et de manifestations sur l'emploi et le pouvoir d'achat, enfin - surtout ! - entamer à la mi-avril le grand et inquiétant débat sur les retraites. Pour affronter cet épisode de grandes turbulences, remplacer des ministres ne suffira pas, aucun ajustement technique ne donnera le change - c'est toute une politique qui vient d'être condamnée et il est pourtant peu probable que le gouvernement envisage d'en changer.

Des voix, à droite, commencent à tousser. Finie, la chorale des béni-oui-oui. Sarkozy n'est plus un intouchable. Certains sortent déjà du bois, comme s'ils devinaient que leur moment allait venir. Les critiques visent la stratégie imposée par le Président, celle du parti unique de la droite incapable de trouver des alliés, ainsi que son obsession de l'« ouverture » à gauche qui donne aux siens l'impression désagréable d'être de perpétuels cocus. La droite doute d'elle-même, elle a deux ans pour calmer son désarroi idéologique, sous peine d'une plus grande déconvenue.

Ne pas croire pour autant que la gauche - joliment unie depuis une semaine - peut se contenter de chanter «on a gagné». Certes, elle n'a pas vocation à demeurer jusqu'à la fin des temps un contre-pouvoir local, mais, si elle veut devenir une véritable alternative au sarkozysme essoufflé, il lui reste encore bien du chemin. Le parti socialiste, incontestable leader de la gauche, ne peut l'emporter en 2012 s'il limite son discours à une simple critique du pouvoir. Il lui manque toujours un projet convaincant sur lequel agglomérer ses partenaires, et un candidat à la fois crédible et capable d'audace. Qui sera-t-il ? Qui sera-t-elle ?

Il faut enfin aux socialistes conjurer leurs (anciens) mauvais penchants : la tentation hégémonique qui nuirait au rassemblement, et la prétention de quelques-uns à s'autoproclamer meilleur candidat. Précisément, le succès régional des socialistes tient à l'état d'esprit respectueux entrevu lors des discussions avec leurs alliés et à l'humilité de ses propres candidats. Le PS aura-t-il la sagesse de conserver d'aussi bonnes dispositions ? Comme dit François Hollande, « l'espoir ne vient pas tout seul »…

 

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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 06:25
Article "leparisien.fr"

      Alsace : «On a l'Alsace et on la garde»: dès l'annonce des premières estimations créditant la liste de droite d'une confortable avance, le QG de campagne du sénateur UMP Philippe Richert explosait de joie.

 

 
Le successeur d'Adrien Zeller, décédé l'été dernier, est arrivé en  avec 46,16 % des suffrages. Le  Jacques Bigot, allié à Europe Ecologie, n'a atteint que 39,27%, alors que les instituts de sondage annonçaient des scores serrés. Cette région a une nouvelle fois confirmé ses valeurs centristes gaullistes. Les listes FN de Patrick Binder ont recueilli 14,54% des suffrages, un score qui s'est légèrement amélioré depuis dimanche dernier (13,49%).

 

Aquitaine : la liste (PS-EE-FG) menée par le président PS sortant, Alain Rousset, a largement devancé (56,34% contre 28,01%) celle conduite par le ministre du Travail, Xavier Darcos (UMP-NC-CPNT). Le socialiste a amélioré ses résultats face au candidat de droite auquel il avait déjà été confronté en 2004, année d'une triangulaire mais avec le FN.  Le député MoDem, Jean Lassalle seul candidat du mouvement de François Bayrou au second tour, a atteint le score de 15,65%. Dimanche dernier, il n'avait recueilli que 10,43% des bulletins.

Auvergne : dans ce duel gauche-droite, les listes de René Souchon (PS-EE-FG)  ont remporté une victoire très large avec 59,68% des suffrages. Le secrétaire d'Etat aux Collectivités territoriales, Alain Marleix (UMP), a près de 20 points de retard, avec 40,3% des voix. Dans le département du Puy-de-Dôme, où le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux était tête de liste, la différence est encore plus grande : la liste UMP-NC a fait 34,94% des suffrages, celle de la gauche 65,06%.  Le PS avait fusionné avec les listes EE de Christian Bouchardy (10,69%)  et du Front de gauche, emmené par le populaire député communiste André Chassaigne (14,24%).

Bourgogne :  cette triangulaire était annoncée comme difficile pour la majorité présidentielle. Elle le fut. Le président sortant, le socialiste François Patriat, a remporté la majorité absolue avec 52,65% des voix.  Avec 36,31% des suffrages au premier tour, le PS avait fusionné avec listes EE de Philippe Hervieu (9,84%).  Son adversaire UMP-NC, François Sauvadet  n'a recueilli que 33,53% . Le FN avec 13,82% fait un peu mieux qu'au premier tour (12,04%).

Bretagne : le PS a été facilement réélu sans les voix d'Europe Ecologie. Cas unique en France, les deux partis n'avaient pas fusionné au second tour. Le président sortant (PS) Jean-Yves Le Drian a obtenu la majorité absolue avec 50,27% des suffrages, largement devant la représentante de la majorité présidentielle Bernadette Malgorn (32,36%) et l'écologiste Guy Hascoët (17,37%).  Le Drian, rayonnant, s'est dit «surpris par l'ampleur d'un tel score». Il a visiblement bénéficié d'un bon report des voix des forces traditionnelles de gauche, Parti de gauche (3,51%), NPA (2,49%) et Lutte ouvrière (1,47%), mais aussi d'une partie des voix du candidat Modem, Bruno Joncour (5,36%) et de la meilleure mobilisation des électeurs.

Centre : la gauche unie a conservé la région Centre, qu'elle dirige depuis douze ans, avec la majorité absolue devant la droite, emmenée par Hervé Novelli, secrétaire d'Etat au Commerce, et le Front National, dimanche au second tour des élections régionales. La liste de gauche (PS,EE et FG)  conduite par François Bonneau, le président socialiste sortant, a, en effet, obtenu 50,01% des voix, la liste UMP-Nouveau Centre 36,46%, et la liste du Front National menée par Philippe Loiseau 13,54%.

Champagne-Ardenne : le président DVG sortant Jean-Paul Bachy a remporté la région avec une confortable avance (44,31%), devançant l'UMP Jean-Luc Warsmann (38,49%) et le frontiste Bruno Subtil (17,19%) qui renforce son bon score du premier tour. Avec une progression de plus de 13 points par rapport au premier tour, Bachy semble avoir bien rassemblé à gauche notamment les électeurs des listes Europe Ecologie avec lesquelles il avait fusionné. La participation a légèrement augmenté par rapport au premier tour mais reste inférieure à la moyenne nationale avec un taux de 48,95% pour l'ensemble de la région. La Marne subit la plus grande désaffection des électeurs avec une abstention record de 53,41%.

Corse : l'Ile de Beauté, championne de France pour la participation, a basculé à gauche, pour la première fois depuis plus d'un quart de siècle. Les listes d'union «Paul Giacobbi-L'alternance» ont recueilli 36,60% des voix. Mais il leur faudra s'allier aux nationalistes. Ces derniers ont réalisé une percée historique aux élections territoriales et s'installent au centre de l'échiquier politique. Ils deviennent la deuxième force politique insulaire devant la droite (27,60%). Le résultat le plus spectaculaire a été obtenu par la liste des nationalistes dits modérés Femu a Corsica (Faisons la Corse) qui, avec 25,90% des suffrages, a largement amélioré son score du premier tour (18,40%). La seconde liste, Corsica Libera, a obtenu 9,80%* des voix (9,36% au 1er tour).

Franche-Comté : emmenée par la présidente PS sortante Marie-Guite Dufay (47,41%), la gauche (PS-EE-FG)  a conservé la région face au secrétaire d'Etat à la Coopération et tête de liste UMP, Alain Joyandet (38,36%). La socialiste avait succédé à Raymond Forni, décédé en 2008. La tête de liste du Front national (18,66% en 2004), Sophie Montel, fait mieux qu'au premier tour avec 14,23% des suffrages contre 13,14% dimanche dernier. Marie-Guite Dufay avait succédé à Raymond Forni, décédé en 2008. En Franche-Comté, la participation était en hausse avec 57,94% de votants contre 51,26% pour le premier tour.

Ile-de-France : les listes de gauche (PS-EE-FG) menées par Jean-Paul Huchon, le président PS sortant, l'ont emporté dimanche au 2e tour des régionales par 56,69% des voix contre 43,31% pour les listes de la ministre UMP Valérie Pécresse. Tous les départements, y compris les Hauts-de-Seine, le département de Nicolas Sarkozy, ont donné une majorité à la gauche, à l'exception des Yvelines, le département de la candidate UMP. Intra-muros, les Parisiens ont voté à 57,95% pour les listes de gauche.

Languedoc-Roussillon :  Georges Frêche, candidat à sa propre succession, a remporté le second tour, très loin devant ses adversaires, avec 54,19%.  Il a devancé le sénateur-maire UMP de Béziers Raymond Couderc de près de 30 points (26,43%). Le FN, conduit par France Jamet, arrive en troisième position. Avec 19,38% des voix, le parti frontiste réalise un score très élevé dans cette région. Lors du précédent scrutin régional, en 2004, le père de France Jamet, Alain Jamet, alors tête de liste du FN, avait obtenu 15,67% des suffrages. Avant le premier tour, aucun sondage n'avait donné le FN à plus de 10%.  Vincent Peillon, Pierre Moscovi et François Hollande ont appelé à «voter Georges Frêche» nommément, alors que la Première secrétaire, Martine Aubry a été plus vague, demandant de «faire barrage à la droite et l'extrême droite» le 21 mars - pour ne pas se dédire, sans fermer la porte à la réconciliation.

Limousin : dans cette triangulaire, où le Front de gauche (PCF-PG) allié au NPA se maintenait au second tour, la liste PS-EE, conduite par le président sortant, Jean-Paul Denanot, a remporté sans surprise, avec près de 47,9% des voix, le second tour. Il devance dans l'UMP Raymond Archer (32,95%) La liste de gauche et d'extrême gauche a obtenu 19,1% des voix. «Je me félicite d'une majorité fortement ancrée à gauche qui sera certes divisée mais qui devrait se retrouver sur les grands dossiers», a commenté Jean-Paul Denanot.

Lorraine : si les listes PS-EE-PCF menées par le président sortant, le sénateur PS Jean-Pierre Masseret, ont obtenu la majorité absolue avec 50,02% des suffrages exprimés, le FN  pointe au plus haut à 18,44%, en hausse de 1,07% par rapport aux 17,37% enregistrés au 2e tour de 2004.  «L'électorat ouvrier (...) nous est revenu, car qui sème la misère récolte la colère», s'est félicité Thierry Gourlot, la tête de la liste frontiste.  La majorité présidentielle, qui avait à sa tête le radical valoisien Laurent Hénart, a obtenu 31,54%, en recul de 2,67% par rapport aux 34,21% de 2004..

Midi-Pyrénées : Martin Malvy, le président PS sortant, s'est réjoui dimanche à Toulouse du score de sa liste qui a atteint 66,77% soit le record pour la gauche au second tour des régionales, en saluant le rôle de «l'union» :  sa liste PS-PRG-MRC avait  fusionné avec Europe Ecologie et le Front de gauche. «Même Lourdes, traditionnellement plus proche de la Vierge Marie que de Jean Jaurès, a donné 57% à la gauche», a-t-il dit. Les listes UMP conduites par Brigitte Bareges ont comptabilisé 32,23 % des suffrages.

Nord - Pas-de-Calais :  la gauche a conservé aisément son bastion. Les listes d'union PS-Front de gauche-Europe Ecologie-MRC-PRG (51,89%) ont obtenu  la majorité absolue devançant très largement la liste UMP (25,91%) de Valérie Létard secrétaire d'Etat des Technologies vertes qui a progressé de 7 points  par rapport au premier tour. La FN Marine Le Pen obtient  22,20% des suffrages soit 4% de plus qu'au premier tour, grâce notamment à un score massif dans son fief d'Hénin-Beaumont (44,23%). La benjamine du clan Le Pen n'a pas réalisé son rêve de devancer l'UMP, mais améliore sensiblement le résultat, déjà exceptionnel, obtenu par sa formation en 2004 (19,98%).

Basse-Normandie : la gauche emmenée par le socialiste Laurent Beauvais a renforcé sa domination sur la région, atteignant un score historique de 57,15%. Ses listes PS-EE-PCF-PRG devancent très largement la liste UMP-NC-MPF de la majorité présidentielle menée par le sénateur UMP Jean-François Le Grand (42,85). Le bon score du MoDem (8,9% ) n'a pas profité à l'UMP.

Haute-Normandie : la gauche unie -PS-EE-FG- conduite par le président sortant PS Alain Le Vern a emporté dimanche l'élection régionale en Haute-Normandie, pour la troisième fois consécutive, avec 24 points d'avance sur la droite emmenée par le ministre de l'Agriculture Bruno Le Maire (UMP). A l'issue d'un scrutin marqué à nouveau par une forte abstention (49,0%) mais plus faible qu'au premier tour (53,6%), la gauche a réuni 55,1% des suffrages contre 30,7% à la droite et 14,2% au FN.

Pays de la Loire : les  listes menées PS-EE par le socialiste sortant, Jacques Auxiette, l'ont emporté dans les cinq départements des Pays de la Loire, y compris en Vendée (50,29%), où règne le président du conseil général Philippe de Villiers (MPF).  L'UMP Christophe Béchu (43,31%) a échoué à reprendre la région perdue par François Fillon en 2004. Avec 56,39%, le président sortant améliore même son score de 2004 (52,35%). 

Poitou-Charentes : le duel entre Ségolène Royal et Dominique Bussereau a, comme attendu, tourné largement à l'avantage de la présidente PS sortante du conseil régional. Elle a recueilli 60,61% des suffrages après une fusion avec Europe Ecologie, enregistrant le deuxième meilleur résultat de ces élections pour la gauche, derrière Midi-Pyrénées. Avec 39,39%, les listes du secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau améliorent notablement leur score du premier tour (29,46%), dans un scrutin marqué par une abstention moins élevée que dimanche dernier (46,51% contre 49,89%).

Provence-Alpes-Côte d'Azur :  le socialiste Michel Vauzelle rempile, après avoir remporté le second tour des régionales dimanche avec 44,11% des voix devant l'UMP Thierry Mariani (33,02%) et Jean-Marie Le Pen (22,87%) qui réalise le meilleur score du FN. A 81 ans, ce dernier a encore amélioré son résultat du premier tour (20,29%) dans une région historiquement favorable au parti d'extrême droite. Il a fait un tabac par endroits, arrivant en tête à Marignane (Bouches-du-Rhône) avec 37,67% des voix et à Cavaillon (Vaucluse) avec 38,20%.

Picardie : la gauche a conservé sans surprise la Picardie dimanche soir au second tour des élections régionales, les listes menées PS-EE par le président sortant Claude Gewerc (PS) recueillant 48,28% des voix, même s'il n'avait pas fusionné avec le FG. La liste UMP de Caroline Cayeux a obtenu 32,43%  des suffrages. Par rapport au premier tour, le FN de Michel Guiniot progresse de près de quatre points et gagne plus de 33.000 électeurs. En 2004, il avait obtenu 18,66% des suffrages au second tour. Le taux d'abstention a atteint 48,84%, semblable à la moyenne nationale, contre 54,44% lors du premier tour dimanche dernier.

Rhône-Alpes : Le PS, allié à Europe Ecologie et au Front de gauche, a réussi dimanche à conserver haut la main la région avec une majorité absolue de 50,76% des voix. Jean-Jack Queyranne le président PS sortant a été reconduit.  La droite, pourtant, avait réussi  à remobiliser ses troupes : Françoise Grossetête, qui avait obtenu 26,39% des voix au premier tour, a réalisé 34,02% dimanche, soit près de 8% de plus. Le Front National, emmené par Bruno Gollnisch, est quant à lui passé en une semaine de 14,01% à 15,23% des voix.

*Contrairement aux régions, 7% suffisent à se maintenir au second tour dans ces élections territoriales.

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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 10:00

1 - Dans les Hautes-Pyrénées :

Liste conduite par Voix % Exprimés
M. Martin MALVY (LSOC) 34 701 40,52
M. Christian PICQUET (LCOP) 8 908 10,40
Mme Brigitte BAREGES (LMAJ) 18 306 21,38
Mme Sandra TORREMOCHA (LEXG) 911 1,06
M. Gérard ONESTA (LVEC) 9 814 11,46
Mme Myriam MARTIN (LEXG) 2 864 3,34
M. Frédéric CABROLIER (LFN) 6 646 7,76
M. Arnaud LAFON (LCMD) 3 482 4,07

    Par commune  : http://elections.interieur.gouv.fr/073/065/065.html
2 - En Midi-Pyrénées : http://elections.interieur.gouv.fr/073/073.html
3 - En FRANCE : http://elections.interieur.gouv.fr/ 

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Equipe Bernard PLANO 1er tour

Faisons connaissance avec l'équipe de Bernard PLANO 1er TOUR.

bernard 21 -  Bernard PLANO (PS), maire de Lannemezan,
président de la communauté de commune du plateau,
chef d'entreprise.

marie baudouin2 - Marie BAUDOUIN (PS),
conseillère régionale sortante,
 adjointe au maire de Maubourguet,
conseillère en insertion.
claude g3 - Claude GAITS (PRG), conseiller régional sortant,
conseiller municipal de Tarbes,
gérant de société.

viviane-copie-14 - Viviane ARTIGALAS (SE), adjointe au maire d'Arrens-Marsous,
vice présidente de la communauté des communes du Val d'Azun,
chef d'établissement scolaire à Lourdes.
francis-copie-15 - Francis ESQUERRE (PS), conseiller régional sortant,
président et animateur de la Maison Commune Bagnères-Tarbes,
 cadre territorial.
maryse6 - Maryse CARRERE (PRG), maire de Lau-Balagnas,
présidente du syndicat mixte du Haut Lavedan,
cadre territorial.
jean michel7 - Jean-Michel CARROT (PS),
maire d'Azet, président de la Maison Pyrénéenne du pastoralisme,
 agriculteur.
christine8 -  Christine CLOS (PS), militante PS,
impliquée dans le milieu associatif,
assistante sociale.
alain.jpg9 -  Alain PIASER (PS), 
1er secrétaire fédéral du PS des Hautes-Pyrénées,
conseiller municipal de Clarens,
enseignant chercheur.
sylvie10 - Sylvie VERDIER (PS),
ingénieur agronome,
professeur de lycée agricole à Vic en Bigorre.
poublan11 - Bernard POUBLAN (PRG), maire de Siarrouy,
vice-président de la communauté de communes Vic-Montaner,
 professeur d'économie et de gestion.

MERCI A TOUS !

DSC03615
L'équipe de Bernard PLANO
 vous remercie ! 

    
Grâce à vous et à votre soutien, l'équipe de Martin MALVY conduite par Bernard PLANO, sur les Hautes-Pyrérénées a obtenu un formidable score à la hauteur de  notre engagement sur le terrain à l'écoute et à la rencontre de nos concitoyens des Hautes-Pyrénées et de la Région Midi- Pyrénées. Merci de nous avoir permis de relever ce défi, d'être élus à la tête de la Région avec le plus de voix, en France. Votre confiance nous honore !

Vous avez choisi notre équipe, à une très large majorité, c’est la reconnaissance du bilan et de l’action du Président de Région Martin MALVY et de son équipe sortante.    

      C’est aussi une adhésion massive au projet que notre équipe présente pour ce nouveau mandat. Enfin, c'est un message fort que vous nous avez adressé afin de protéger notre Région, de la rendre forte et solidaire, d'améliorer les conditions de vie de nos concitoyens et de préparer notre avenir, l'avenir de tous nos jeunes.

PLANO BernardBAUDOIN MarieLATRUBESSE GuilhemVIEU Marie-Pierre GAITS ClaudeARTIGALAS Viviane

   Pour le département des Hautes-Pyrénées, Bernard PLANO et son équipe sont très heureux du résultat de ces élections 2010. Ils vous adressent un grand et sincère remerciement à vous tous,  électrices et électeurs, militants, sympathisants qui avez voté pour la liste MALVY-PLANO et qui avez ainsi accordé votre confiance. 


   L'équipe renouvelle tous ses chaleureux remerciements aux élus, Parlementaires, Conseillers régionaux et Conseillers généraux, Maires et bénévoles qui se sont mobilisés sur le terrain, avec force de conviction et sans défaillance, depuis le début de cette campagne.
  
 
    Un remerciement particulier aux colistiers qui se sont fortement impliqués et mobilisées durant cette campagne mais qui, hélas, n'ont pas été élus. Dans cette équipe une réelle entente et une forte cohésion se sont établies durant toutes ces semaines de campagne. Chacun a porté des projets pour son territoire, a fait des propositions pertinentes et nous les soutiendrons !  Nous continuerons à travailler ensemble dans l'intérêt aussi de tout le département. 
 
équipe
    

Enfin, l'équipe adresse un immense remerciement à l'ensemble des personnes qui les ont accompagné sur le terrain, jour après jour, à tous ceux qui les ont accueilli dans leur entreprise, leur exploitation agricole, leur association, leur commerce... ainsi qu'à ceux qui, lors des rencontres, ont accepté d'échanger, de dialoguer et de faire avancer  le débat pour un projet encore plus pertinent. 
 bernard14 Bernard PLANO continuera le travail de terrain et de proximité. Comme il s'y est engagé, il viendra régulièrement à votre rencontre pour continuer nos débats pertinents entre le Conseil Régional et ses concitoyens, et vous faire part des actions entreprises par le Conseil régional.

      Comme sur les Hautes-Pyrénées, en région Midi-Pyrénées et sur l'ensemble du territoire les Français veulent une France plus juste et plus forte.

       En Hautes-Pyrénées, en Midi-Pyrénées les attentes de nos concitoyens sont fortes et nous devrons toujours agir pour soutenir les emplois d’aujourd’hui et préparer ceux de demain, soutenir l'agriculture, améliorer les transports, aménager le territoire avec solidarité, donner une chance à tous les jeunes, accompagner les personnes âgées,  améliorer les conditions de vie des Français dans le logement, la santé, protéger l’environnement et préparer un avenir durable.
 
bp-copie-1 Comme le dit Bernard PLANO : 'Nous servirons les intérêts des Hautes-Pyrénées et de la Région. Nous nous engageons, dans les nouvelles responsabilités qui seront les nôtres, à affirmer nos valeurs de Gauche, Liberté, Egalité, Fraternité, celles qui sont inscrites sur les frontons de nos établissements publics."

A la Région, les forces de Gauche sont rassemblées, dans le respect des identités de chacun ! 

On luttera pour faire cesser la politique actuelle du gouvernement, qui est injuste et inefficace face aux difficultés du quotidien !


Martin MALVY sur l'Eurorégion Pyrénées Méditerranée bernard12 

      Ce dimanche marque une belle victoire pour la Gauche dans notre département, notre région mais aussi pour toute la FRANCE ! C'est une étape importante dans la vie démocratique de notre pays.

  En effet, les Français, par leur vote, se sont exprimés. Ils ont envoyé un message clair et fort au gouvernement. C'est une remise en cause de la politique gouvernementale soutenue par l'UMP. Par ces résultats, ils expriment leur refus d’une France divisée, affaiblie, d'une France des privilèges.

Photographe : Patrick Kovarik AFP :: Martine Aubry, au centre, avec des présidents de région socialistes, le 23 mars 2010 à Paris au siège du PS


Nos concitoyens ont largement voté pour la gauche rassemblée. C’est une reconnaissance globale du bilan et de l’action des Présidents de Régions et de leurs équipes. C’est une adhésion massive à leurs projets.

       Face aux difficultés quotidiennes des Français, face à leur lassitude, à leurs inquiétudes, à leur déception, à leur désespoir, les forces de Gauche apportent un Espoir fort. C'est une responsabilité qui nous est confiée, un devoir que nous aurons à coeur de bien remplir.  

      Notre résultat est un encouragement pour nous, femmes et hommes de Gauche. Voter pour l'équipe Martin MALVY - Bernard PLANO, c'était voter "Pour vous, une Région rassemblée",  à l'avenir il faudra tous ensemble participer à "Pour nous, une France rassemblée". Quand on est unis et tournés vers les Français, ils retrouvent leur confiance ! Ces résultats nationaux nous donnent de l'espoir mais aussi des devoirs pour l'avenir.

 

Que les forces de Gauche luttent pour faire cesser cette politique injuste et inefficace !

Ce sera le meilleur barrage possible à la politique de droite si destructrice. 

C'est d'une Gauche sociale, républicaine, solidaire et écologiste dont la France a besoin.

 Il nous faut bâtir une France forte et solidaire, qui prépare un avenir porteur d'espoir, et qui puisse garantir durablement une qualité de vie partagée !


Merci à tous ! 
                                                                                               

Une Liste fort bien soutenue

UNE EQUIPE SOUTENUE PAR DE NOMBREUX ELUS, MILITANTS, SYMPATHISANTS...

 Merci aux  nombreux élus PS-PRG


les parleentaires2qui soutiennent la liste Martin MALVY et qui sont très présents auprès de Bernard PLANO et de ses colistiers.

Merci aux sénateurs 
Josette DURRIEU  Josette

Fortassin

François FORTASSIN, 


          
         aux députés

Robin rodrigo

 


Chantal ROBIN-RODRIGO,  

     p Forgues


 

Pierre FORGUES,


 
et Jean GLAVANY.     
 




Merci à tous les conseillers généraux des cantons et aux nombreux maires des communes, pour leur présence régulière auprès de cette équipe.
 

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Merci à Jean-Claude Palmade, un Directeur de campagne impliqué pour le succès de cette liste.
 

Merci aux très nombreux militants ou sympathisants qui se mobilisent, sont présents quotidiennement aux meeting, aux réunions, qui distribuent des tracts, qui nous aident au niveau de l'organisation matérielle de cette campagne...


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Merci à l'équipe  d'"intermittents-militants"  qui met tout en oeuvre pour permettre une bonne organisation des réunions-débats, qui sont suivies par des moments d'échange en toute convivialité autour de tourtes des Pyrénées, de cidre....
 

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  Merci aux personnes qui ont créé ce blog et à toutes celles qui le font "vivre".

 

Soutiens Liste PS-PRG-MRC-SE

Le conseil général des Hautes-Pyrénées à fond derrière Martin Malvy-Bernard Plano


Les élus de gauche du conseil général (PS-PRG) ont tenu un point presse en milieu de journée avec photo de famille à la clé pour exprimer à l’unisson leur soutien au président PS sortant Martin Malvy et à sa tête de liste départementale Bernard PLANO.